à propos

« Il avait un joli nom, mon guide, Nathalie »

NATHALIE MERYET

J’avoue que je n’aurais pas pensé qu’un jour cette chanson de Gilbert Bécaud me corresponde si bien.

Je suis Angevine d’origine, j’aime le vin, le fromage, les bons restaurants, les voyages et les GENS ! Mais pas que…

Epicurienne, curieuse, j’aime découvrir de nouvelles choses, de nouveaux pays, de nouvelles cultures, faire de nouvelles rencontres. J’ai toujours rêvé d’aller visiter des lieux où personne ne va… J’ai fait quelques voyages, souvent organisés, et il me manquait toujours cette authenticité, ce contact avec la population locale qui, pour moi, fait la richesse de ces moments lointains.
Même si je me suis longtemps cherchée professionnellement, mon fil conducteur a toujours été d’être en contact avec des personnes et leur apporter du plaisir.

A 12 ans je voulais être prof d’EPS, profession que j’ai exercée pendant 10 ans en Sarthe et en Touraine.

A 35 ans je fais une première reconversion professionnelle qui me conduit vers une licence d’organisation d’événementiels sportifs avec laquelle je travaille peu mais grâce à laquelle j’arrive en Touraine. Je réfléchis à monter une entreprise dans l’oenotourisme, à l’époque il n’y a personne sur le secteur mais je n’ose pas me lancer.

En 2013, je me retrouve un petit peu par hasard animatrice coordinatrice en résidence services seniors. L’animation est un métier que je connais bien puisque j’ai commencé à l’âge de 17 ans et que j’ai travaillé avec différents publics… Dans la résidence, on peut dire que je m’éclate, j’organise les activités quotidiennes, les soirées avec concerts et repas, les événements ouverts au public et ce que j’aime par-dessus tout, c’est organiser des sorties en minibus, visites du territoire, concerts, échanges avec d’autres résidences, etc.

En 2020, je quitte la résidence pour 2 raisons principales : les 7 heures quotidiennes ne suffisent pas pour faire un travail de qualité vu la quantité des tâches demandées (et encore plus avec un poste au Comité d’Entreprise), la rentabilité devient le maître mot devant l’humain. Je fais un bilan de compétences interne qui ne donne rien de probant. Ma santé commence à en pâtir, il est temps de retrouver un travail qui fasse sens pour moi et qui corresponde à mes valeurs.

2021, je me cherche toujours. A mon 1er RDV avec ma conseillère pôle-emploi, je reparle de l’entreprise d’oenotourisme que je voulais monter il y a 10 ans. Très vite, je repars dans ce sens, fais plusieurs formations dont un stage Erasmus à Malte pour améliorer mon anglais. A mon retour, l’heure de la réflexion a sonné ! J’élargis mes horizons, l’œnotourisme, certes mais pas que ! J’ai envie de faire découvrir ce qui fait la richesse de ce territoire, les hommes – artisans, producteurs, propriétaires… – et les endroits méconnus, découverts au détour d’un chemin. Je remets l’humain au centre de ma vie que j’allie avec mon petit côté aventurière. J’ai enfin trouvé ma voie !! Aller dénicher les pépites de Touraine me chatouille !

2022, le projet se met en place. Je sais que toutes les compétences acquises au cours de ma carrière professionnelle vont me servir, je souhaite offrir aux gens ce qu’il me manquait dans mes voyages et que beaucoup de monde recherche, l’authenticité, le partage avec la population locale. De plus, le fait de travailler hors des sentiers battus correspond bien à ma personnalité.

Alors si vous aussi vous partagez ces valeurs, je suis votre femme !